Frise Chronologique
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- 1942
- 1942
- 1950
- 1955
- 1965
- 1966
- 4000
- Nouvelle carte réduite de la Manche pour servir aux vaisseaux du Roy
D’une superficie de 75000 km², la Manche est l’une des mers les plus fréquentées au monde.
Voir la fiche complète - Tapisserie de Bayeux
a Tapisserie de Bayeux, ou Tapisserie de la reine Mathilde, ou plus anciennement Telle du Conquest (Toile de la conquête) se présente sous la forme d'une broderie de 70 mètres de long, composée de 9 panneaux de lin, montrant 58 scènes accompagnées d'un commentaire en latin. Cette tapisserie - ou Broderie d'Hastings - aurait été commandée par Odon de Bayeux, demi-frère de Guillaume le Conquérant. Il se peut qu'elle ait été confectionnée dans le Kent, à Winchester ou Cantorbery, juste aux lendemains de la bataille de 1066 pour relater la conquête normande de l'Angleterre.
Voir la fiche complète - Denier de Guillaume Longue Epée provenant de l'atelier de Rouen
L’installation des Vikings en Normandie en 911/912 correspond à la période de la désintégration du contrôle central royal sur le monnayage au profit des comtes. Cependant, les comtes gardèrent généralement, par respect et par tradition
Voir la fiche complète - Evangéliaire de Jumièges
Le XIème siècle est profondément marqué par l'apparition de l'enluminure dans les manuscrits normands. Celle-ci s'explique essentiellement par le renouveau monastique et la nécessité pour les communautés religieuses de se constituer une bibliothèque.
Voir la fiche complète - Ouverture d’un magasin anglais à Rouen
Annonce de l’ouverture d’un magasin à Rouen rue Grand Pont par deux anglais, 7 juillet 1787.
Voir la fiche complète - Deniers d’argent de Guillaume le Conquérant
Dès son sacre en l’abbaye de Westminster le 25 décembre 1066, Guillaume, qui déjà frappait monnaie en tant que duc de Normandie, émit des monnaies dans son nouveau royaume (1066-1076).
Voir la fiche complète - Charte de confirmation de Guillaume le Conquérant en faveur de l'abbaye de Fécamp
Charte de confirmation de Guillaume le Conquérant (patronus des Normands et roi d'Angleterre) en faveur de l'abbaye de Fécamp de Steyning (Estaninges), West Sussex - qui avait été donné par le roi Edouard le Confesseur.
Voir la fiche complète - Guillaume le Conquérant
Le règne de Guillaume le Conquérant (1035-1087) apparaît traditionnellement comme pour une période faste pour le duché de Normandie. Malgré les débuts difficiles où le jeune duc doit faire face à l'opposition d'une partie de l'aristocratie normande, la paix s'impose dans le duché et le pouvoir ducal en sort renforcé. Guillaume s'applique à faire fructifier les alliances passées par ses ancêtres et en développe de nouvelles, s'imposant comme un prince territorial au rayonnement international.
Voir la fiche complète - Charte de Guillaume de Varenne, fils du premier seigneur de Lewes
Après la Conquête, le Sussex fut divisé en zones administratives que l’on appelle des « rapes ». On en comptait trois dans l’East Sussex – Hastings, Pevensey et Lewes. Le comte d’Eu reçut le rape d’Hastings, le comte de Mortain celui de Pevensey, tandis que Guillaume de Varenne devenait seigneur de Lewes.
Voir la fiche complète - Tirelire et monnaies
A la fin du XIIè siècle et au début du siècle suivant, dans les régions de France placées sous la domination des rois d’Angleterre de la dynastie de Plantagenêt, les monnaies anglaises circulaient fréquemment aux côtés des monnaies locales.
Voir la fiche complète - Château de Rouen
Le roi de France Philippe-Auguste (1180-1223) fit construire le château de Rouen il y a huit siècles, au lendemain de sa conquête de la Normandie, en 1204.
Voir la fiche complète - Certificat de paiement par l'abbé du Tréport à celui de Robertsbridge
Henri, abbé de Tréport, rappelle la vente à l’abbé et au couvent de Robertsbridge de biens à Bolinton et à Pebsham (à Bexhill), Playden et Stand, moyennant la somme de 200 marcs sterlings (66 livres13 shillings et 4 pence).
Voir la fiche complète - Coutumier de Normandie
La Normandie avait mis par écrit, dès la fin du XIIe siècle, un ensemble de règles juridiques sous le nom de Très ancien coutumier de Normandie, dont la seconde partie sera mise par écrit après le rattachement à la France dans la première moitié du XIIIe siècle. la coutume, qui devait rester en vigueur jusqu’à la Révolution
Voir la fiche complète - Sceau de Rye
Sceaux en cire verte appendus sur un acte daté du 1er avril 1307, par lequel John et Alice Torel cèdent un bien foncier situé à Merstret à Rye à Peter et Denise Hegsthone. Le plus petit est celui de John Torel et représente un navire avec un mat.
Voir la fiche complète - Chroniques de Normandie
Le texte a été rédigé entre 1350 et 1370 par un auteur anonyme normand, probablement rouennais. Ce récit est basé sur le Roman de Rou de Wace (1160-1174) ainsi que sur la Chronique de Normandie du XIIIe siècle.
Voir la fiche complète - Albâtre anglais figurant le meurtre de Thomas Becket
On trouvait des carrières d’albâtres dans le Derbyshire, qui ont donné lieu à la fin du Moyen Âge à une importante production de sculptures religieuses, dont le principal centre était à Nottingham.
Voir la fiche complète - Plan de Rouen assiégée et prise par Charles IX
La réforme protestante a vu en Haute-Normandie l’émergence de communautés importantes, notamment autour de Rouen ou de Dieppe.
Voir la fiche complète - Liste des protestants français réfugiés à Rye
Par arrêté des Lords du Conseil du 28 octobre 1571, un recensement des étrangers de la ville fut ordonné, en vue d’expulser les indésirables
Voir la fiche complète - Massacre de la Saint-Barthélemy, 24 août 1572
Episode tragique des guerres de religion, c'est le massacre de protestants déclenché à Paris, le 24 août 1572, jour de la fête de Saint-Barthélemy, prolongé pendant plusieurs jours dans la capitale, puis étendu à plus d'une vingtaine de villes de province durant les semaines suivantes. Conséquence des déchirements militaires et civils de la noblesse française entre catholiques et protestants, notamment entre le clan des Guise et celui des Châtillon-Montmorency, il est le résultat d'une sauvage réaction populaire, ultra-catholique et hostile à la politique royale d'apaisement. Il reflète également les tensions internationales entre les royaumes de France et d'Espagne, avivées par l'insurrection aux Pays-Bas. La tradition historiographique a fait du roi Charles IX et de sa mère, Catherine de Médicis, les principaux responsables du massacre. Faute de sources, les historiens sont restés longtemps partagés sur le rôle exact de la couronne. Ils retiennent aujourd'hui que seuls les chefs militaires du clan protestant étaient visés par l'ordre royal. Dès le matin du 24 août, Charles IX avait ordonné l'arrêt immédiat des tueries mais, dépassé par le zèle et la fureur du peuple, il n'avait pu les empêcher.
Voir la fiche complète - Pourtraict de la ville de Dieppe
Le Pourtraict de la ville de Dieppe, par François de Belleforest (1530-1583), 1575. Gravure sur bois.
Voir la fiche complète - Registres paroissiaux de Rye, mentionnant des baptêmes et mariages dans la communauté française
Une importante colonie française, pour échapper aux persécutions, a trouvé refuge à Rye, une ville côtière de l’East Sussex et principale destination alors au départ de Dieppe.
Voir la fiche complète - Certificat du maire et des jurats de Rye
Certificat du maire et des jurats de Rye, du 27 mars 1579, attestant de la bonne moralité d’un certain nombre de colons Français en ville, dont Anthony Cocke.
Voir la fiche complète - Ebauche d’une lettre du Maire et des Jurats de Rye à Richard Barry, Lieutenant du Château de Douvres, concernant les amendes pour actes de piraterie
La lettre dresse une liste des personnes soupçonnées de piraterie à Hastings, Rye, Lydd et Romney, dont un certain nombre étaient français. il y avait parmi eux un commerçant français de Dieppe, Francis Maquery de Rye, connu par d’autres documents.
Voir la fiche complète - Bail d'un terrain de Rye à un Français
Bail à un Français, Anthony Cocke, et à son fils Moses d’un terrain non bâti, de 13 m x 4,25 m environ, devant le Strandgate de Rye sous les remparts de la ville, entre l’immeuble de Thomas Radforde et la nouvelle canalisation pour un annuel loyer de 4 pence. Il y a deux sceaux appendus, un coq sur une lettre N, avec la légende LE COQ; et une ancre.
Voir la fiche complète - Plaque de cheminée
Plaque de cheminée montrant Richard Lennard, le ferronnier du fourneau de Brede, avec les outils et les produits de son métier. Ses initiales figurent sur une cartouche dans le coin en bas à droite. Un fourneau est indiqué en bas, et une brouette déverse les matériaux dans le haut du fourneau.
Voir la fiche complète - Carte de la manse principale de Robert Wildgoose nommée Iridge à Salehurst par Ambrose Cogger
This map clearly shows the complex system of artificial ponds created to service the Iridge furnace.
Voir la fiche complète - Instructions du Cardinal Richelieu au capitaine Daniel
La fin de la Guerre de Cent ans a placé la Normandie, pour plusieurs siècles, à l’écart des guerres extérieures. Cela n’empêche pas la province de participer aux opérations, notamment maritimes.
Voir la fiche complète - Extrait d’un journal probablement tenu par John Ashburnham
John Ashburnham, le premier baron du nom, avait à l’âge de 17 ans fait un Grand Tour à travers la France et la Suisse.
Voir la fiche complète - Lettre de Thomas Pettet à John Collier
Collier (1685-1760) était Avocat pour la Couronne et assistait dans les procès de contrebandiers jusqu’en 1733 lorsqu’il fut nommé responsable des patrouilles montées des douanes et du fisc (Surveyor-General of the Riding Officers) du Kent.
Voir la fiche complète - Nomination d'un capitaine anglais
Ce document sur parchemin, daté de 1757, est la nomination du capitaine de navire le Dolphin, un navire de commerce sans canons, d’une capacité de 90 tonneaux et à destination de Terre-Neuve, du Portugal ou de l'Espagne. Cette nomination d’un capitaine anglais sur un bateau anglais nous est certainement parvenue suite à la capture du bateau en question.
Voir la fiche complète - Certificat d’apprentissage de matelot
Ce contrat d’apprentissage de trois ans, daté de 1760, a été rédigé en deux exemplaires ; à la manière des chirographes médiévaux, ceux-ci étaient établis en deux exemplaires, superposés et découpés de façon identique en partie supérieure (d’où le nom d’endenture, « indenture » en anglais). L’un des exemplaires était destiné à l’élève matelot James Brown, l’autre au capitaine du navire Robert Farwell.
Voir la fiche complète - rapport rédigé par Holker fils proposant des solutions pour lutter contre la contrebande anglaise
Ce rapport a été rédigé dans le but de répondre à une lettre de l’intendant Trudaine.
Voir la fiche complète - Lettres d’anoblissement de John Holker, enregistrées par la Cour des aides
Né à Stretford près de Manchester le 14 octobre 1719, John Holker a joué un grand rôle dans le développement industriel de la Haute Normandie. Il s’y est si bien intégré qu’il a été naturalisé en 1766 et anobli par le roi quelques années plus tard.
Voir la fiche complète - Affiche de vente aux enchères du bateau anglais le Dauphin
Cette affiche à destination des négociants, est un avis de vente d’un bateau anglais pris par des corsaires français, par devant « messieurs les Officiers de l’Amirauté de la Ville du Havre de Grace ». Le bateau commandé par Nicolas Goss est un petit bateau de 36 pieds 6 pouces, sans canons, à destination du commerce. La prise d’un bateau étranger est une pratique courante au XVIIIe siècle : la «guerre de course». Elle désigne aux XVIIe et XVIIIe siècles les actes de piraterie perpétrés par des marins contre les ennemis de leur pays, avec l'agrément de leur souverain. Ces marins sont appelés «corsaires» (du latin cursus, course).
Voir la fiche complète - Observations de la Chambre de commerce de Normandie sur le traité de commerce entre la France et l’Angleterre
Ce mémoire est rédigé en réaction au traité de navigation et commerce de 1786. Il s’appuie sur les observations de deux représentants (Murard et Rabasse) envoyés en Angleterre pour enquêter. La chambre revient sur les modalités du traité en expliquant que les anglais ont au préalable consulté les corporations de négociants et fabricants contrairement à la France.
Voir la fiche complète - Lettre du roi au capitaine Smith
Lettre du roi autorisant le capitaine Smith, anglais, commandant de navire à commander sous pavillon français un navire assurant la traite négrière, sans faire acte de réception, enregistrée le 17 mars 1787. Registre papier.
Voir la fiche complète - Lettre et mémoire sur le commerce français et anglais après le Traité de commerce, 1786
Lettre adressée aux membres de la Chambre de Commerce du Havre et mémoire comparatif sur le commerce anglais et français, consécutif au traité de commerce de 1786, 1788.
Voir la fiche complète - Plan de Brighton
Vue 1 : Plan de la paroisse de Brighthemstone, 1792 130 x 82 (ESRO: AMS 4106) Vue 2 : Plan de la ville de Brighton et ses environs, 1850 Par Ligott Smith pour le roi Georges IV 144 x 113 (ESRO : QDP 133)
Voir la fiche complète - Registre de désarmement du bateau L’Amiral perdu à Hastings
Ce registre des rôles des bâtiments de commerce (désarmement) nous permet de savoir que le navire l’Amiral a été perdu sur la cote anglaise, au large d’Hastings le 16 janvier 1792. Le rôle de désarmement se compose d’un descriptif du bateau, liste de l’équipage et salaire perçu par chacun.
Voir la fiche complète - Liste des compagnons de Guillaume le Conquérant
A la mort d’Edouard le Confesseur en 1066, Harold se fait couronner roi d’Angleterre, prenant ainsi le trône qui revenait à Guillaume Le Bâtard. Devant le refus d’Harold de lui laisser le royaume, Guillaume décide de lever une armée pour se rendre outre-manche. Tout juste dix mois séparent la mort d’Edouard de la victoire d’Hastings.
Voir la fiche complète - Abraham Duquesne
Lithographie du XIXe siècle. Né en 1610 à Dieppe d’une famille huguenote, Abraham Duquesne prend son premier commandement dans la marine à dix-huit ans.
Voir la fiche complète - Assiettes de la deuxième période des ateliers Ledoux-Wood, dessin au crayon plume et lavis par C. Ridey
La faïence est une industrie très présente dans le faubourg Saint-Sever, mais c’est à Forges-les-Eaux que Georges Wood, d’origine anglaise, s’installe et fonde la première faïencerie en 1797. Sa production se porte sur la « faïence fine », dite « faïence anglaise » ou « terres de pipe », dont voici la représentation de l’une de ses assiettes. Ce sont des faïences de couleur crème et qui ont pour but d’imiter la porcelaine.
Voir la fiche complète - Plan d’une usine sise à Déville appartenant à Messieurs Rawle, Poupard de Neuflize et fils, Sevesne et John Colliere
La première filature de coton de M. Rawle est construite en 1798 et comprenait une capacité de 6000 broches sur deux étages.
Voir la fiche complète - Mémoire adressé aux négociants des places maritimes mentionnant les exactions des pirates anglais
Ce mémoire vise à inciter les négociants du Havre à se réunir pour évaluer leurs pertes de revenus provenant de la piraterie anglaise dans les colonies. Ce document permet de mettre en lumière une des origines des conflits Franco-Britannique au cours des XVIIIème siècle et XIXème siècle.
Voir la fiche complète - Mouvement de l’ennemi sur la côte normande
Lettre du sous préfet destinée au préfet datée du 19 juin 1811, titre « mouvement de l’ennemi sur la côte »
Voir la fiche complète - Cotre de collecteurs de taxes
Un cotre de collecteurs de taxes est un petit bateau légèrement armé, utilisé pour faire respecter la réglementation douanière et arrêter les contrebandiers.
Voir la fiche complète - Journal illustré de Frances Sayer lors de sa visite à Brighton en 1818
Frances Sayer visita Brighton à l'époque où la ville se transformait en station balnéaire fréquentée par le Prince régent, dont le palais d'été, le Pavillon, était toujours en travaux.
Voir la fiche complète - Pavillon Royal de Brighton
Brighton est une ville et l’une des stations balnéaires les plus célèbres d’Angleterre. Elle fut mise à la mode notamment par Albert Abdullah David Sassoon, le « Rothschild indien », dans les années 1870. Parmi ses bâtiments célèbres, l’extravagant Pavillon Royal, élevé pour servir de résidence au prince régent, le futur roi George IV.
Voir la fiche complète - Plan d'une cabine de bain
Plan d’une cabine de bain roulante bon marché et simple consistant en une structure légère couverte d’une toile « comme celles qu’on utilisait sur la côte française », provenant des archives des commissaires chargés de l’amélioration de Brighton, vers 1820.
Voir la fiche complète - Affiche imprimée sur la contrebande des alcools
Affiche imprimée, proposant une récompense pour toute information intéressant la revente de spiritueux de contrebande, et notamment de cognacs français.
Voir la fiche complète - Jetée suspendue de Brighton
Vue de Brighton, montrant la jetée suspendue. Gravure par T. A. Prior, milieu XIXè siècle.
Voir la fiche complète - Cahier de notes faites en Angleterre par Camille Koechlin dans les Etablissements de Messieurs Thomson Chippindall et Cie près de Manchester
Les pages reproduites sont tirées du cahier de notes de Camille Koechlin, membre de la famille des manufacturiers du textile en Alsace. Ces notes ont été prises lors d’un voyage réalisé en Angleterre au cours de la visite des Etablissements Thomson Chippidall et Cie près de Manchester.
Voir la fiche complète - Recherche d'un professeur d'anglais : lettre du Collège royal de Rouen au recteur de l’Académie
Alors que le Conseil royal d’Instruction publique vient d’approuver l’enseignement de la langue anglaise, le Collège royal de Rouen, ancêtre du lycée Corneille, fait part au recteur de ses difficultés à trouver un professeur qualifié.
Voir la fiche complète - Testament de George Kittle, propriétaire des machines à bain
Il place ses machines à bains en fiducie pour qu'elles soient bien entretenues, pour payer la pension, l'hébergement et l'éducation d'Edward Hall, fils d'Ann Marchant, résidant à la même adresse que lui à Brighton.
Voir la fiche complète - Histoire de la conquête de l'Angleterre par les Normands
"Histoire de la conquête de l'Angleterre par les Normands : de ses causes et de ses suites jusqu'à nos jours, en Angleterre, en Ecosse, en Irlande et sur le continent" par Augustin Thierry (1795-1856). Cinquième édition. Paris, Just Tessier, 1838
Voir la fiche complète - Projet d'extension du port de Dieppe,avec création d'un port de refuge. Lithographie couleur de Rivière
Cette vue perspective de la ville de Dieppe, réalisée aux alentours de 1840, met en évidence deux ambitieux projets d’infrastructure qui n’ont jamais vu le jour.
Voir la fiche complète - Calendrier du Chemin de fer de Paris à Rouen
Le calendrier de l’année bissextile 1844 à l’effigie du chemin de fer commémore l’arrivée du chemin de fer en Seine-Inférieure. Le tracée de la ligne suit la vallée de la Seine et mesure près de 130 km. Les travaux ont commencé en mai 1840 et sont l’œuvre des anglais.
Voir la fiche complète - Locomotive Budiccom
Afin de permettre l’exploitation de la ligne, la Compagnie de Rouen devait être en mesure de produire des voitures, des wagons et des locomotives. Les promoteurs du projet du chemin de fer entre Paris et Rouen se tournent de nouveau vers l’Angleterre qui fournit déjà une grande partie des locomotives en France.
Voir la fiche complète - Guillaume de Varenne et Gundrada
Guillaume de Varenne était un baron normand qui s'est battu aux côtés de Guillaume le Conquérant lors de la Bataille d'Hastings en 1066. Lors du recensement du Domesday Book, il détenait beaucoup de terres dans treize comtés, celui de Lewes dans le Sussex y compris (maintenant East Sussex).
Voir la fiche complète - Maison anglaise : planche extraite de l’ouvrage d’A. Petit « Habitations champêtres »
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les publications de planches d’architecture se multiplient.
Voir la fiche complète - Louis Heyrault, Le grand steeple-chase de Dieppe de 1856, lithographie
Dieppe adopte la mode d’Angleterre qui consiste à organiser des courses de chevaux. La ville se dote d’un hippodrome dès 1852.
Voir la fiche complète - Croix d'absolution et pot funéraire
Au Moyen-Âge, ces croix étaient placées sur les morts, tant en France qu’en Angleterre, ainsi qu'un pot funéraire. Elles ont la forme de la croix de Malte et rappellent assez bien les croix de consécration et les croix de cimetières du XIIe siècle.
Voir la fiche complète - Vue d’Eastbourne, par Henry Nibbs
Une vue d’Eastbourne montrant les cabines de bain sur la plage.
Voir la fiche complète - Exposition universelle de Londres, 1862
Liste des participants rouennais proposés par les jurys d’admission
Voir la fiche complète - Traité entre la ville de Rouen et MM. Easton, Rivolta et Green pour l’établissement d’une distribution d’eau, 26 août 1864
Après plusieurs études de projet de distribution d’eau potable à Rouen, la ville attribue dans le traité représenté la concession de distribution de l’eau à MM Easton, Rivolta et Green en 1864.
Voir la fiche complète - Fibules scandinaves
Les objets présents sur cette planche, issue d'un registre papier, ont tous été présentés à la Commission départementale des Antiquités lors de la séance du 23 mai 1871. Conservés au Musée des Antiquités, ils ont été découverts en plusieurs endroits de la Seine-Maritime et de l’Eure entre 1840 et 1871 (Aubermesnil-les-Erables, Caudebec, Pîtres).
Voir la fiche complète - Mouvements des navires sur le port de Rouen
Rapport de la Chambre de commerce, en anglais. Il faut attendre le milieu du XIXe siècle pour que se développe vraiment les pratiques du libre échange entre les deux rives de la Manche.
Voir la fiche complète - Les Antiquités monumentales de la Normandie par John Cotman - Paris, 1881
À partir de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, beaucoup de Britanniques redécouvrent avec intérêt leurs racines anglo-normandes. Nombreux sont les artistes à venir en Normandie, peintres comme Turner, photographes comme Tenison, mais aussi graveurs qui en diffusent les images.
Voir la fiche complète - Casino de Dieppe, Vieux Château et bains
Le premier établissement des bains voit le jour en 1822, grâce au comte de Brancas, sous-préfet de la ville. Cet établissement entouré d’un jardin avec son élégante colonnade est considéré comme le premier casino de Dieppe.
Voir la fiche complète - Machine à vapeur compound construite par M. E. Windsor (ingénieur-constructeur anglais à Rouen), planche extraite de la « Revue industrielle », réalisée lors de l’Exposition universelle de 1889
La planche représente une machine à vapeur compound, c’est-à-dire à deux cylindres, construite par E. W. Windsor. La construction de ces machines ont fait la réputation de la maison et celle de la construction de machines à Rouen.
Voir la fiche complète - Le cercle ou la mode du club anglais : état nominatif des membres du Grand cercle du casino de Dieppe
Sous l’influence anglaise, les cercles se multiplient en Normandie, et notamment sur le littoral. Le Cercle de la Concorde à Fécamp se donne pour but de procurer un local aux habitants « pour causer affaires et se réunir agréablement ».
Voir la fiche complète - Statuts du Havre Athletic Club
En 1872, le Football Club Havrais est lancé par des expatriés protestants anglais qui sont négociants ou employés de commerce au Havre. Le Havre Athletic Club prend en 1891 les couleurs d’universités anglaises ou les joueurs ont étudié : le fameux ciel (Cambridge) et marine (Oxford).
Voir la fiche complète - Tête casquée en pierre
Tête casquée en pierre, présumée de Du Guesclin - XVème siècle Destinée à orner le Château de Longueville Destinée à orner le Château de Longueville
Voir la fiche complète - Livre de bord officiel du SS Rouen de Newhaven
Ce livre n’est pas le véritable carnet de bord du navire mais un relevé de certaines catégories d’incidents (par exemple, décès, perturbations à bord) que l’on était tenu par la loi de signaler au responsable général de la navigation et des marins (Registrar General of Shipping and Seamen). Il comprend une liste des membres de l’équipage avec un rapport sur leurs personnalités et leurs compétences de marins
Voir la fiche complète - Abbatiale de Fécamp, aquarelle de Paul Marny
Dès le règne de Guillaume Longue-Epée (927-942), fils de Rollon, Fécamp jouit d’une place particulière en raison de l’établissement vers 930 d’une résidence ducale près de l’ancienne abbaye désertée à la fin du IXe siècle et qui sera rétablie, d’abord en tant que collégiale, en 990 par Richard Ier, puis en tant qu’abbaye en 1001 par Richard II.
Voir la fiche complète - Dieppe, affiches des Chemins de fer de l’Ouest
Peu avant 1900, de nouveaux procédés d’impression donnent naissance à l’affiche publicitaire de grand format. Ce support permet, entre autres, aux compagnies ferroviaires de faire la promotion des sites touristiques desservis par le train.
Voir la fiche complète - So british ! : "L’Art de bien s’habiller”; "Album des costumes"
Même avec des draps d’Elbeuf, « l’art de bien s’habiller » se confond avec l’art de se vêtir à l’anglaise : tenues des sportsmen (golf, tennis et courses hippiques), tenues de ville ou smoking, chapeaux melon…
Voir la fiche complète - Le Nouveau Pont aux Anglais
Le développement de la ligne de chemin de fer de Paris à Rouen aura demandé de percer cinq grands tunnels et six viaducs sur la Seine.
Voir la fiche complète - Dieppe, le « Brighton ». le plus rapide des Steamer Anglais, carte postale
De nombreux paquebots ralliant Dieppe aux côtes anglaises furent dénommés « Brighton ». Celui-ci est le quatrième, et l’un des premiers paquebots à turbines de ligne Dieppe-Newhaven.
Voir la fiche complète - Dieppe, le bateau de Newhaven entrant au port
Le « Newhaven » est un paquebot français à turbines et hélices. Construit aux Forges et Chantiers de la Méditerranée au Havre, mis en service en 1911 et modifié en 1932 pour fonctionner au mazout, il mesure 92 mètres de long et peut atteindre la vitesse de 24 noeuds.
Voir la fiche complète - Tenues de soirées à l’anglaise : gravure de mode "Le Musée des Tailleurs"
La mode masculine française est profondément sous influence anglaise, surtout depuis le XIXe siècle, comme en témoignent des modèles tels que redingote, queue de pie, haut de forme mais également blazers, cravates…Les étoffes des maisons anglaises sont également toujours réputées pour la fabrication de costumes de haute tenue.
Voir la fiche complète - Lithographie de Rollon, premier duc de Normandie
Premier comte de Normandie, Rollon a suscité bien des controverses. Originaire du Danemark ou de Norvège, son histoire nous est connue par le biais de Dudon de Saint-Quentin, chroniqueur normand du XIe siècle. Contraint à l’exil pour cause de pillages, Rollon, également nommé Rou, ou Robert Ier le Riche après son baptême, prend la tête d’une armée de Vikings.
Voir la fiche complète - Etablissements Butler- Holliday au Houlme, acte de constitution de la société
L’acte de constitution des Etablissements Butler-Holliday de 1906 est l’acte notarié qui fonde la nouvelle société entre Henry Butler et Betsy Holliday son épouse aux fins d’exploitation d’un établissement industriel et commercial de tissage, filature et teinture à Malaunay et au Houlme. Cet industriel anglais est l’un des rares de la vallée cotonnière à travailler la laine.
Voir la fiche complète - L’exposition franco-britannique de 1908
L’exposition franco-britannique de 1908 : façade latérale du pavillon d’entrée. Cliché sur verre par Louis Chesneau, août 1908.
Voir la fiche complète - Une villa citadine d’inspiration régionaliste : Rouen, villa rue Senard, architecte P.Lefebvre. Planche imprimée extraite de « Villas et petites maisons du XXème siècle » Paris : Librairie centrale d’art et d’architecture
Cette demeure bourgeoise atteste de l’importance prise en ville comme sur le littoral par le courant régionaliste. Réapparu peu avant 1900, le pan de bois ou son imitation en béton subsistent jusqu’à la fin des années 1930 et attribue à ce type de villa le style « anglo-normand ».
Voir la fiche complète - Une "public school" à Mont-Cauvaire : plan des maisons d'élèves
Le Collège de Normandie ouvre ses portes en 1902. Il s’agit d’un établissement privé qui accueille les élèves catholiques et protestants à partir de 7 à 9 ans, jusqu’au baccalauréat. Il est la réplique du Collège anglais de Harrow.
Voir la fiche complète - Château et Cité Butler, Le Houlme
Installés au Houlme depuis 1883 sur le site d’une ancienne filature, Henry et Alfred Butler associés au départ à Charles et Thomas Holliday étendent le site avec la construction de nouveaux ateliers, d’une cité ouvrière et de deux logements patronaux.
Voir la fiche complète - Représentation d'un contrebandier
Dessin romantique d’un contrebandier, avec le contour de la côte et le Château d’Hastings, et un lougre faisant une course, par E. Leslie Badham (1873-1945). Dessin à l’encre
Voir la fiche complète - Affiches de la Première Guerre mondiale
Publiées en masse par le Parliamentary Recruiting Committee (Comité parlementaire de recrutement), probablement en 1915, cette affiche s’adresse aux jeunes Anglais susceptibles d’intégrer l’armée britannique sur le front. Le rattachement à l’armée se faisait sur la base du volontariat jusqu’en 1916, où une loi instaure le service militaire obligatoire.
Voir la fiche complète - Carnet d'autographes d'une infirmière soignant des soldats
My dug-out: Photo, croquis et poème d'un carnet d'autographes, tenu par une infirmière soignant des soldats en convalescence pendant la Première Guerre.
Voir la fiche complète - Carnet de Service du Royal Sussex Regiment
Carnet de Service mobile de la Première Guerre mondiale, appartenant à M. Albert Prior [né vers 1900], Royal Sussex Regiment 1917.
Voir la fiche complète - Lettre illustrée de Percy Horton à Lydia Sargent Smith décrivant l’état physique et émotionnel d’Harry Horton à son retour de la guerre
Lettre illustrée de Percy Horton à Lydia Sargent Smith décrivant l’état physique et émotionnel d’Harry Horton à son retour de la guerre [déc. 1918]. ESRO, AMS 6375/1/9.
Voir la fiche complète - Affiche Le Rouen
Affiche publicitaire des Chemins de fer de l'Etat et de Southern Railway sur la ligne Dieppe-Newhaven. Imprimé vers 1920. (ADSM, 63Fi/136)
Voir la fiche complète - Une "public school" à Mont-Cauvaire : album de photographies du Collège de Normandie
Au Collège de Normandie, suivant le modèle du Collège anglais de Harrow, l’exercice physique et les jeux y sont obligatoires. On joue au football, à la paume, à la crosse, et on fait de la gymnastique et de l’escrime. Les élèves pratiquent les bains de plein air grâce à un équipement exceptionnel.
Voir la fiche complète - Reconstitution de la Bataille d'Hastings
Photographies prises lors de la reconstitution historique de la Bataille d'Hastings à l'abbaye de Battle Pageant en Juillet 1932. (ESRO: PCA 236/3, 5)
Voir la fiche complète - Affiches de la Seconde Guerre mondiale
Affiche "Dakar - Mers El Kebir" - ADSM, 63 Fi 66
Voir la fiche complète - Rapport du commissaire central de Rouen sur l’activité de deux loges maçonniques anglaises
Les Francs-maçons étant jugés responsables de la défaite, le Gouvernement de Vichy prend rapidement des mesures à leur encontre.
Voir la fiche complète - Récit du Raid de Dieppe (Opération Jubilé) par Roger Rothwell, employé du Conseil Municipal de Newhaven, publié conjointement par le Conseil municipal de Newhaven et le Conseil Régional du Comté du Sussex de l’Est pour marquer le cinquantième anniversaire
Le 19 août 1942, 6 100 soldats anglais et surtout canadiens, partis de Newhaven, ont débarqué sur les plages de Dieppe. L’opération « Jubilee » devait permettre la destruction de défenses côtières et d’infrastructures stratégiques, et le rembarquement des troupes dans la même journée.
Voir la fiche complète - Hastings, for the perfect holiday in England, affiche publiée par les chemins de fer britanniques
Affiche destinée aux visiteurs anglais et français faisant la publicité d’Hastings et indiquant les routes des ferries entre la côte sud et la France.
Voir la fiche complète - Plans de Rouen
La cartographie de Rouen à travers les âges Plans dressés et dessinés d'après des documents anciens par Edgard Naillon - Editions G. Lanfry, 1955
Voir la fiche complète - Broderie d'Hastings
La Broderie fut commandée par le County Borough of Hastings et fabriquée par la Royal School of Needlework en 1965 pour célébrer le 900ème anniversaire de la Bataille d'Hastings l'année suivante. Elle était destinée à être un équivalent moderne de la Tapisserie de Bayeux, même si elle est faite en appliqué plutôt qu'entièrement cousue.
Voir la fiche complète - 900ème anniversaire de la Bataille d'Hastings
Pli délivré par la Poste le 14 octobre 1966 pour commémorer le 900ème anniversaire de la Bataille d'Hastings.
Voir la fiche complète - Lingot de plomb
Lingot antique en plomb, découvert à Lillebonne en 1840, au pied de la muraille extérieure du théâtre romain, vers l’ouest. Il pèse 43,5 kg.
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